A LIRE dans La lettre de l’IR-FSU du 05 octobre 22:

Depuis l’automne 2017, notre société assisterait à une libération de la parole. La formule est passive et on ne sait pas « qui » a libéré la parole ; formule passive car on aime aussi souligner qu’elle s’est mécaniquement libérée ; image abstraite qui efface la cause de cette parole devenue publique. Cependant, on a vite compris que les femmes avaient « pris » la parole, geste affirmatif, et surtout subversif, puisque le contenu de cette parole est de dire la violence subie tout en désignant les auteurs de cette violence.