Dans un contexte d’attaque permanente de la Fonction Publique par le pouvoir en place, la FSU, via sa secrétaire générale Bernadette Groison, se devait de réagir et de rappeler au Président de la République à quel point nous sommes convaincu-e-s que la Fonction Publique dans son ensemble est un atout pour la République, et non uniquement une charge.
C’est chose faite avec cette lettre qui entend faire comprendre au Président notre grande inquiétude face aux réformes actuelles et autres suppressions d’emplois, et qui le met donc en garde quant aux graves conséquences que sa politique pourrait avoir.
La FSU refuse cette vision comptable et compte prendre sa part dans le débat afin de la faire reculer.