A LIRE dans La lettre de l’IR-FSU du 05 octobre 22:
La question des relations entre syndicalisme et politique reste l’objet de débats récurrents, parfois aigus. Entre la conception travailliste anglaise où le syndicalisme a longtemps assumé l’organisation d’une action partisane et le modèle léniniste de subordination qui assigne au syndicat de n’être que la « courroie de transmission » entre le parti et les masses, le syndicalisme français, par la charte d’Amiens de 1906, a construit une voie originale affirmant sa légitimité à lutter à la fois pour l’amélioration matérielle de la vie des travailleurs et pour une transformation sociale radicale. Lire la suite