Paul Devin, président de l’IR-FSU, au Congrès de Metz

Chères et chers camarades,
Nous avons quelques raisons de nous inquiéter de l’avenir du syndicalisme et donc de l’avenir de nos organisations syndicales. La plus visible sans doute résulte des évolutions de la syndicalisation. Un seul chiffre suffira, qui transcende les inquiétudes particulières de chacune de nos organisations : aux temps du Front populaire, comme au lendemain de la Libération, le taux de syndicalisation dépassait les 45% . Il était encore de plus de 20% dans les années 70… il est aujourd’hui inférieur à 10%. […]

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